De Ouarzazate à Marrakech : retour aux sources et souks
Nous refaisons le trajet en sens inverse de Ouarzazate à Marrakech. Le trajet du retour dans la montagne nous laisse entrevoir des contrastes saisissants entre la neige (il en est tombé sur les hauteurs durant ces périodes de pluies), le soleil et la pierre.
Nous demandons des haltes que le guide a du mal à nous laisser prendre. Finalement, on s'arrête sur une "aire" et ... nous voyons surgir des marocains pour nous vendre ... de tout et de rien. C'est impressionnant car, en nous arrêtant, nous n'avions vu personne. On a l'impression de les voir apparaître comme par magie.
De retour à Marrakech, nous mangeons et nous installons à l'hôtel Al Kabir, l'hôtel où une partie d'entre nous avait dormi la première nuit. Il est beaucoup moins typique que le Caspien, où nous étions. On y mange aussi moins bien.
De retour à Marrakech, nous mangeons et nous installons à l'hôtel Al Kabir, l'hôtel où une partie d'entre nous avait dormi la première nuit. Il est beaucoup moins typique que le Caspien, où nous étions. On y mange aussi moins bien.
Mohammed change un peu le programme et nous fait visiter les souks. Il nous propose la demi-journée libre le lendemain et pour cela, nous emmène dans les souks pour qu'on puisse s'y repérer si on veut y revenir. Aux souks, nous nous rendons dans un magasin d'épices qui est aussi une sorte de "parapharmacie". On nous fait asseoir dans une salle pleine de couleurs (les pots d'épice sur les étagères accrochées aux murs) et le patron nous parle des épices, des herbes et de leurs propriétés. Dans sa bouche, tous les maux ou presque peuvent se faire soigner ainsi. Il nous fait même passer des lettres de clients qui vantent les mérites des plantes. Un bon commercial !
Le souk est organisé selon les corporations. Il y a le souk des ferronniers, le souk des babouches, le souk des épices, etc ... Les artisans travaillent dans leur boutique. Des enfants apprennent le métier.
Le souk est organisé selon les corporations. Il y a le souk des ferronniers, le souk des babouches, le souk des épices, etc ... Les artisans travaillent dans leur boutique. Des enfants apprennent le métier.
Mohammed nous ramène sur la place Jemaa El Fna et nous explique qu'en partant de là et en rayonnant autour de l'artère principal, on ne peut pas se perdre. Il nous y laisse jusqu'à 18h. On peut rentrer avec le car qui nous attendra à 18h ou plus tard par nos propres moyens. Nous y serons à 18 h, trop crevés !
La soirée à Al Kabir sera amusante ! Nous discuterons avec d'autres compagnons de voyage et nous finirons par tirer les cartes (de Femme Actuelle) dans le salon !
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